Il y a une chose que je voulais te demander,
Ceci depuis très longtemps mais je n'ai jamais osé,
Alors peut-être qu'aujourd'hui encore,
Je préférerais le silence que dire ces mots d'or.
Je crois ne m'être jamais assez approché de toi
Pour trouver seule réponses à ces émois,
Alors il faudra un jour que je te le demande
Mais promet moi de détourner tes yeux d'amandes.
Les mots sont juste au bout de ma langue
Mais ne les forcent pas, ils doivent être tendres,
Dit avec toute la douceur que j'ai pour toi,
Avec tout le ressentiment que je n'ai pas.
Il faudrait que je sois tout près de toi
Mais pardonne-moi, s'il te plait, je ne le peux pas,
Alors je le dirai peut-être ici et maintenant
Car je ne suis pas assez forte en attendant
J'avoue que les mots sont déjà sortis
Mais ce ne fut qu'en silence que je le fis,
Mais cette fois tend l'oreille, car la question la voilà :
Comment voit-on la vie... derrière des yeux chocolat ?
+ Raf +
À vie.
En l’espace d’une seconde
Je deviens le monde
Je me trouve belle
Et je suis Elle
En l’espace d’une seconde
Je suis immonde
Je ne sais pas quoi
Mais n’en veux pas
En l’espace d’une seconde
Je suis féconde
Tout juste réelle
Et un peu blême
En l’espace d’une seconde
Je brise la ronde
Je pars pleurer
Je pars rêver
En l’espace d’une seconde
Je refais le monde
En l’espace d’une seconde
D’éternité.
+ Raf +
Poème inspiré d'une chanson de Dir en Grey, si je puis dire. La première phrase -interrogation- du poème vient de la traduction des paroles et le titre, lui, est dans la chanson (en anglais dans le texte).
La chanson en question c'est Spilled Milk pour les curieux.
Blind sorrow
Si je te dis que tu es belle
Arriveras-tu à t’endormir ?
Si tu te plonges dans ces merveilles
Cesseras-tu alors de mentir ?
Si je deviens très personnel
Parviendras-tu à ne pas fuir ?
Si j’avouais être cruel
Commencerais-tu par ne rien dire ?
Et si la vie n’était pas belle
Me pardonnerais-tu de te nuire ?
Si toi et moi étions pareil
Aurais-tu toujours ton sourire ?
Si je ne disais rien de tel
Continuerais-tu à me lire ?
Se je me coupais les ailes
Arriverais-tu à me retenir ?
Et si je te dis que je t’aime
Arriveras-tu à me laisser partir ?
+ Raf +
Voilà une des choses que je devais poster depuis quelque jours.
Il y avait un monologue avec, mais j'ai pas envie de le mettre maintenant. Une autre fois peut-être
-Ce poème est évidement à associer avec mon dessin plus bas-
[ I don’t want to fly ]
Une craie à la main, l’esprit droit
Comme une enfant, j’en ris aux éclats
Le regard vidé de sentiments
Je dessine des ailes sur le ciment.
J’en dessine une paire juste pour toi
Et puis toutes les autres sont pour moi
Aucune pour papa et maman
Je dessine des ailes sur le ciment.
J’avoue et je ne sais pas pour toi
Mais moi je me demande pourquoi
Je n’ai jamais su tes sentiments
Je dessine des ailes sur le ciment.
C'est une craie à la main et l’esprit droit
Que de ton départ je ris aux éclats
Et le regard vidé de sentiments
Je dessine mes ailes sur le ciment.
+ Raf +
Et surtout…
Et surtout n’oublie pas de m’oublier
Car dans tes rêves les plus inavoués
Je serai toujours tout contre toi serré
Et j’irai souvent à tes souvenirs frapper.
Mais surtout n’oublie pas de m’épargner
Que dans tes souvenirs effacés
Reste toujours là imposée
Une image de moi juste délavée.
Car si tu oublies de m’oublier
Il y aura toujours ce goût salé
Qui coulera entre tes dents serrées
Et un jour tu finiras par me détester
Alors n’oublies pas de m’oublier
Que dans ton cœur juste écorché
Reste un sentiment blanc de pureté
Car tu le sais, nous nous sommes aimés.
+ Raf +
Prélude à une nouvelle fic ^^
Petite humeur ce soir, puis un sacré mal de dos. Qu'est-ce que j'ai encore fait à mon omoplate gauche ?
Ma soeur m'a presque félicité aujourd'hui : "T'écris une lettre de motivation un samedi ?! T'es motivée !"
Puis son texto pour demander pardon de s'être emporter l'autre jour. Je crois que plus les années passeront, plus on sera proche, ça me donne le sourire.
Puis ça, écrit à l'instant.
Sauve-moi
.
.
Rien n’a de prise sur moi
Sauf toi
Mais tu ne me dis plus rien
.
Le tout s’enlise en moi
Sauf toi
Mais tu ne t’accroches à rien
.
Qu’on ne bâtisse rien en moi
Sauf toi
Mais tu ne veux plus rien
.
Qu’on en finisse avec moi
Sauve-toi
Car je ne suis plus rien
.
.
+ Raf +
…sur le fil
Pantin de cuivre, pantin d’argile.
Toi si intime, moi si fragile.
Nous sommes enlacés à cloche pied
…sur le fil
C'est comme un hymne et ton profil.
Moi j’hallucine quand tu sourcilles.
On s’est aimé sans trop peiner
…sur le fil
Puis tu souris, j’suis hémophile.
Mon cœur s’emplit, tu bas des cils.
Tu m’as chassé puis rattrapé
…sur le fil
Envie de vivre des ombres fictives.
J’fais le pari, toi tu dis oui,
Qu’on s’ra enlacé juste après
…sur le fil
T’es si intime mais pas fragile,
C'est comme l’hymne au pantin d’argile,
Il dit qu’on est enlacer à cloche pied
…sur le fil
... + Raf +
De vieux poèmes pour combler le vide qui se forme ici.
Une image furtive vue dans une pub à la Tv et voilà ce qu'il en ressort...
La Lettre.
Et si un jour vous trouviez une lettre
Que tout y sois dit, du profond au paraître
Du sourire falsifié à l'authentique mal-être
Des larmes de grandes joies à celles de grands maîtres ?Si vous lisiez ces lignes pas très bien écrites
Décrivant en détails tout les rires de pitres
Abusant sans vergogne de toutes les choses non-dites
S'esclaffant doucement de tout les parasites.Si vous trouviez les espace blancs de tout les maux
Les impressions cachées par des oublies faux
Les petits bonheurs qui ne comblent que l'ego
Les blessures dont on ne dit jamais mot.Si vous trouviez une lettre qui disait simplement
"Voici l'histoire d'un être presque vivant,
Qui repose en ce lieu qu'est la Terre soi-disant
Parmi d'autres espèces d'êtres terrifiants"
Si vous trouviez un jour une lettre d'auteur innommable
Et que vous vous rendiez compte que c'est de vous qu'elle parle ?
+ Raf +
[Juste une idée comme ça]
